Photos- Heidi Klum sexy, c’est maman qui shoote
Après s’être dévoilée sous (presque) toutes les coutures ces derniers temps sur les réseaux sociaux, Heidi Klum vient de révéler qui prenait les fameuses photos. Et contre toute attente, c’est sa maman. Une mère qui a appris sa superbe fille à ne pas être pudique. Et c’est tant mieux.
Souvenez-vous, ces derniers jours, la photo des fesses d’Heidi Klum puis celles où elle apparaissait topless, sur un transat ou avec des coquillages, avaient mis tous nos sens en émoi. Certains s’amusaient de ces clichés, il faut bien le reconnaître, pas désagréables pour les yeux, quand d’autres trouvaient le petit jeu du mannequin ridicule, y cherchant une explication philosophique sur le sens de la vie ou la crise de la quarantaine.
La belle ne s’est guère souciée de ces critiques continuant à alimenter son compte Twitter de ses photos sexy, mais cette semaine, elle fait une révélation à ce sujet qui risque d’en décevoir plus d’un.
Lors d’un entretien accordé à America’s got talent mardi dernier, Heidi Klum a en effet confessé que ce n’était pas elle qui prenait les clichés en question. On s’en serait un peu douté étant donné certains angles et la qualité de l’image, mais plus troublant, elle a avoué que c’était sa maman qui était derrière l’appareil photo, ou le smartphone. «Vous serez surpris d’entendre que c’est ma mère qui prend la majorité des photos. Oui, ma mère et mon père. Ils étaient en vacances. Oui, et ma mère sait prendre de bonnes photos» a ainsi déclaré Heidi Klum.
Le top model ne s’est pas étendu sur les raisons profondes qui l’ont incité à s’exhiber ainsi sur les réseaux sociaux, mais elle a reconnu qu’elle n’était pas pudique et que cela ne la dérangeait pas de se montrer ainsi à tous ses followers. Une qualité (si, si, on peut considérer que c’en est une) qui lui vient de sa famille justement et de son éducation. «Et je suis Européenne. Je n’aime pas porter de dessus. Je n’aime pas les marques de bronzage!» lance-t-elle, sûre de son petit effet. Cela tombe, nous, on en redemande.